© Shutterstock
Aversion pour les perce-oreilles (5/12)
Peu de gens apprécient cependant d’en retrouver chez eux. Leur aspect est en effet assez repoussant malgré leur inoffensivité. Voici donc une astuce pour les éloigner de manière efficace et définitive.
© Shutterstock
Astuce partagée par une utilisatrice (6/12)
Alicia Alexander, sur Facebook, a partagé une technique qu’elle a trouvée pour éliminer les perce-oreilles, une solution qui pourrait en intéresser plus d’un.
© Shutterstock
La méthode d’Alicia contre les perce-oreilles (7/12)
Elle conseille de placer un bol peu profond rempli d’une demi-tasse d’huile d’olive à l’extérieur, dans le jardin ou sur la terrasse. Ce récipient fonctionnera ensuite comme un piège efficace contre l’invasion des perce-oreilles.
© FACEBOOK @ALICIA ALEXANDER
Attrait fatal de l’huile d’olive (8/12)
En effet, attirés par l’huile d’olive, les perce-oreilles se retrouvent piégés une fois dans le bol, offrant une solution potentielle contre les infestations.
© FACEBOOK @ALICIA ALEXANDER
Signe d’alarme domestique (9/12)
Il est à noter qu’une présence anormale de perce-oreilles dans une habitation pourrait indiquer un problème sous-jacent de pourriture du bois
© Shutterstock
Attirance des insectes pour le bois pourri (10/12)
Ils font en effet partie des nombreux insectes attirés par le bois en décomposition, rappelant l’importance de vérifier l’état de vos charpentes dans votre domicile.
© Shutterstock
Quête de chaleur par les perce-oreilles (11/12)
L’attrait des perce-oreilles pour les espaces intérieurs les plus chauds de vos maisons ne doit cependant pas être un motif d’inquiétude.
© Shutterstock
Impact minimal des perce-oreilles (12/12)
Leur recherche d’un environnement plus chaud est en effet un comportement normal et ne devrait pas poser de problème notable, hormis vous mettre la puce à l’oreille concernant vos structures en bois.
© Shutterstock
À un moment donné de l’année, il est courant pour chacun de nous de croiser des insectes à la maison, bien que certains soient moins bienvenus que d’autres, chacun dispose de son seuil de tolérance face à ces invasions saisonnières.
