Le jour où il la voit sourire à un autre homme comme elle souriait avec lui, quelque chose se fissure. Cette image – douce et cruelle à la fois – agit comme un électrochoc. Il comprend qu’elle a tourné la page, et qu’il est resté bloqué à la mauvaise ligne. Une scène digne d’un vieux film français : mélancolique, discret… mais percutant.
Personne ne comble plus le vide qu’elle a laissé
Elle n’était pas parfaite, mais elle savait écouter, rire au bon moment, le soutenir dans les tempêtes. Quand tout cela disparaît, même les silences deviennent pesants. Il tente de retrouver cette présence, mais c’est comme vouloir recréer le goût exact d’un plat préparé par une grand-mère : aucune recette ne parvient à l’égaler.
Il regrette de ne pas l’avoir soutenue quand elle en avait besoin
Quand les souvenirs remontent, ce sont les moments où elle pleurait seule dans la cuisine, ou lançait une dernière tentative de dialogue qu’il esquivait, qui refont surface. Et ce regret est lourd. Aussi lourd qu’un sac trop rempli qu’elle portait seule, alors qu’il aurait suffi d’un geste pour alléger son fardeau.
