Max, un chien policier, a aboyé sur l’ours en peluche d’une petite fille. Ce qu’il a découvert a ému tout le monde

Dans le tumulte d’un terminal bondé, une scène surprenante a bouleversé les voyageurs et rappelé à tous qu’il existe des trésors bien plus précieux que l’or. Une histoire vraie, douce comme une madeleine, où flair rime avec mémoire…

Un aboiement pas comme les autres

Ce jour-là, l’aéroport de Westbridge vivait sa routine effervescente. Valises en cascade, passagers pressés, annonces résonnantes… Rien d’inhabituel.

Sauf pour Max. Ce Malinois belge de six ans, au regard aussi affûté que son instinct, patrouillait comme d’habitude aux côtés de l’agent Thomas Dubois, son partenaire de confiance.

Mais soudain, Max s’immobilise. Il fixe une fillette, pas plus haute que trois pommes, vêtue d’un imperméable rose vif et serrant fort un vieux nounours beige : Gaston.

Rien de bien suspect pour un œil humain. Mais Max n’est pas humain.

Il aboie. Fort. Un aboiement clair, autoritaire. De ceux qui ne laissent place à aucun doute.