En rendant visite à ma fille mariée, j’ai découvert qu’elle vivait dans une cabane de jardin sous 40 °C
Camille aime Léo, au point d’accepter des règles absurdes imposées par sa belle‑famille : « pas de visiteurs » dans la maison quand leur fils n’est pas là. Résultat ? Des journées étouffantes dans un abri de jardin, un ventilateur poussif, un berceau de fortune… jusqu’au jour où son père, Hugo, découvre la scène. Sa phrase claque, nette : « Sans respect, il n’y a pas d’amour. » Cette prise de conscience devient l’étincelle qui remet tout en mouvement.
Sauver d’abord, parler ensuite : la stratégie qui protège

