Cette histoire, aussi bouleversante que singulière, interroge profondément. Peut-on tout excuser au nom de l’amour parental ? Où s’arrête l’instinct protecteur et où commence l’excès ? Si Vyacheslav a agi avec son cœur, la société, elle, se doit de poser des limites.
Car même dans les situations les plus injustes, la justice reste un repère essentiel. Un phare qui doit continuer d’éclairer les zones d’ombre, même quand l’émotion prend toute la place.
Quand le cœur prend les commandes, la frontière entre héros et coupable devient floue.
