J’ai brisé la vitre d’une voiture pour sauver un chien enfermé sous une chaleur écrasante

Sur le pare-brise, un mot griffonné avec un numéro. J’ai appelé sans hésiter. Un homme a décroché. Je lui ai expliqué calmement que son chien souffrait. Sa réponse ? Froide : « Je lui ai laissé de l’eau. Ce ne sont pas vos affaires. »

De l’eau ? Oui… dans une bouteille fermée. Inutile. J’étais abasourdie. Et révoltée.

Une décision instinctive… et salvatrice

Je n’ai pas réfléchi plus de deux secondes. J’ai attrapé une pierre sur le sol et j’ai brisé la vitre. L’alarme s’est déclenchée, les passants se sont arrêtés. Mais je n’entendais que le souffle court de ce pauvre chien. Je l’ai sorti, je l’ai arrosé d’eau, et j’ai appelé à l’aide.

Quelques minutes plus tard, Thomas est revenu furieux. Il criait, me traitait de folle, menaçait d’appeler la police. Ce qu’il a fait.