Ma fille m’a exclue du baptême de mon petit-fils : « Il n’y a pas de place pour toi, maman. » Je suis rentrée chez moi et j’ai pris cette décision

Le lendemain, la tension retombe. Lina exprime sa colère, sa surprise, puis ses regrets. Claire, elle, expose calmement ses limites et les raisons de son choix. Elle rappelle qu’aimer ne signifie pas s’effacer, ni accepter d’être reléguée au second plan.
Peu à peu, la conversation révèle autre chose : une dépendance affective et matérielle installée depuis trop longtemps. Claire propose alors un cadre nouveau et plus juste : si Lina souhaite repartir sur des bases saines, elle peut travailler à ses côtés, gagner en autonomie et redéfinir leur lien d’adulte à adulte.

Une reconstruction lente, mais sincère