Naomi Wolf : « Von der Leyen a menti au sujet de la sécurité du vaccin Pfizer » – Le Parlement européen sous le choc

Ce que Pfizer savait dès le début

Les révélations contenues dans ces documents sont accablantes. Pfizer savait dès novembre 2020, un mois après le début de la campagne de vaccination, que l’injection ne fonctionnait pas pour arrêter le COVID. L’effet secondaire le plus courant de la vaccination était justement le COVID lui-même. Cela signifie que tous les mandats vaccinaux, les licenciements, les fermetures d’entreprises et les restrictions imposées par la suite reposaient sur un mensonge délibéré.

L’entreprise savait également que le produit ne restait pas dans le muscle deltoïde comme annoncé. Les documents internes montrent des graphiques détaillant comment la protéine spike, l’ARN messager et les nanoparticules lipidiques se dispersent dans tout l’organisme en 48 heures. Ces substances traversent la barrière hémato-encéphalique et s’accumulent dans les organes majeurs, notamment le foie, les glandes surrénales, la rate, le système lymphatique et, chez les femmes, les ovaires.

Dans les trois premiers mois, Pfizer a enregistré plus de 42 000 effets indésirables graves. L’effet secondaire le plus fréquent était la myalgie, c’est-à-dire des douleurs musculaires. Le deuxième était les douleurs articulaires, car ces injections provoquent de l’inflammation. Ensuite venaient des problèmes cardiovasculaires majeurs : myocardites, péricardites, problèmes aortiques, caillots sanguins dans les poumons et les jambes. Les documents recensent également des événements neurologiques graves, des troubles auto-immuns, des dommages oculaires importants et 1 200 décès en trois mois.