Au-delà de ces douleurs localisées, d’autres manifestations peuvent indiquer que votre système respiratoire requiert une évaluation :
- une toux rebelle qui persiste au-delà de trois semaines,
- une difficulté respiratoire survenant au repos,
- des épisodes infectieux bronchopulmonaires répétés,
- une asthénie marquée sans cause identifiable.
Si plusieurs de ces symptômes coexistent, même modérés, prenez rendez-vous sans attendre. Une consultation préventive vaut toujours mieux qu’un diagnostic tardif.
L’importance d’une réaction rapide
Notre capital respiratoire est fragile. Plus une anomalie est identifiée précocement, plus les interventions sont efficaces. Un examen clinique simple, des imageries ciblées (radiographie, IRM) ou un suivi spécialisé permettent d’éclaircir la situation et, le cas échéant, d’intervenir à temps.
Si vous présentez des facteurs prédisposants (antécédents personnels ou familiaux, exposition professionnelle à des toxiques, consommation tabagique actuelle ou passée), redoublez de vigilance.
Votre corps vous parle – apprenez à décrypter ses messages.
